[EGREGORE] Partie III, chapitre 84
84. Bartek parvint à me désarmer. Je tombais au sol. C’en était fini. Et soudain, une voix dans ma tête. Une voix venue du cosmos, que je semblais être le
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84. Bartek parvint à me désarmer. Je tombais au sol. C’en était fini. Et soudain, une voix dans ma tête. Une voix venue du cosmos, que je semblais être le
83. Merunka commençait à désespérer. Les bruits à l’étage s’étaient tus et personne ne l’avait entendue hurler à pleins poumons. Son épaule était endolorie à force de cogner la porte.
82. Il était beaucoup plus fort que moi. Des années d’expérience de combat avaient fait de moi un excellent juge en la matière. J’allais donc probablement mourir ici et maintenant.
81. Tadeusz ne se contrôlait plus. Ivre de haine, il s’en alla chez lui chercher une arme afin d’éliminer une fois pour toute ce chef pénible. C’est alors qu’il croisa
80. « Enfin ! » s’exclama Bartek. La maison d’Hasel apparut devant ses yeux lorsqu’il émergea du bois. Il dégaina son épée et se dirigea sans autre détour vers la porte. Mais
79. « J’aimerais entendre vos problèmes », dit le chef, « et contribuer à les résoudre. » « La vie de notre cité doit pouvoir être améliorée. C’est pourquoi j’y ai réfléchi et je voulais
78. Ils redescendirent tous dans la pièce à vivre. Ewald était satisfait de sa cueillette. Je repensai à ce qu’avait dit Dorn juste avant qu’Hasel ne revienne. Cette dernière me
77. Tadeusz était aux anges. Le chef avait la gorge sèche. Il n’était pas préparé à devoir se défendre. En fait, il n’était même pas préparé à être accusé et
76. Radomìr, désespéré, finit par ressortir. Il piétinait devant la porte fermée de Tadeusz, à cours de solution. Il était persuadé qu’elle était là. Il lui avait même semblé entendre
75. Merunka entendit un vague bruit de pas étouffé. Il y avait du mouvement à l’étage. « HEEEE ! AU SECOURS ! JE SUIS LA ! HEEEE ! » Rien à faire.