[EGREGORE] Partie III, chapitre 76
76. Radomìr, désespéré, finit par ressortir. Il piétinait devant la porte fermée de Tadeusz, à cours de solution. Il était persuadé qu’elle était là. Il lui avait même semblé entendre
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76. Radomìr, désespéré, finit par ressortir. Il piétinait devant la porte fermée de Tadeusz, à cours de solution. Il était persuadé qu’elle était là. Il lui avait même semblé entendre
75. Merunka entendit un vague bruit de pas étouffé. Il y avait du mouvement à l’étage. « HEEEE ! AU SECOURS ! JE SUIS LA ! HEEEE ! » Rien à faire.
74. Radomìr, flanqué de ses deux gardes, atteignit la maison de Tadeusz. Une grande maison de pierre en plein centre d’un domaine verdoyant. Typique des gens fortunés. « Vous, vous faites
73. Après avoir fait connaissance, Hasel nous servit le thé. Avec des gestes minutieux, elle versa l’eau avant de nous proposer de visiter la maison. « Tenez », me dit-elle en me
72. Ce fut laborieux, mais Bartek avait fini par retrouver la piste. Il avait repéré une paire de pas supplémentaire au sol. Des pas très légers, dont les traces avaient
71. « …,j’accuse le chef de la cité d’avoir abusé de son pouvoir et d’avoir ainsi entravé l’exercice de vos libertés. » Le chef jeta un œil à la foule. Elle semblait
70. Bartek tournait en rond. Cette forêt semblait lui résister et le ramenait sans cesse sur le même chemin. Combien de fois était-il passé devant ces arbustes. Quelle heure était-il
69. Elle jaugeait avec curiosité mon bâton de marche, le manipulant comme s’il était le sien. Nous étions tous les trois assis dans le salon de cette femme mystérieuse du
68. L’énergie de l’espoir l’animait. Radomìr prit avec lui deux gardes de la chefferie et se dirigea vers l’entrepôt qui avait brûlé, lorsqu’un sifflement aigu lui vrilla les tympans. Il
67. Merunka était enfermée dans une oubliette. Elle examina méticuleusement les murs. De la pierre taillée. Solide. Elle examina la porte. Du bois très dense, probablement du chêne. « Une maison