[EGREGORE] Partie III, chapitre 66
66. Une table avait été posée sur une estrade. La foule bruyante était si densément rassemblée autour que Radomìr et le chef eurent du mal à se frayer un chemin.
Association culturelle et musicale à but non lucratif
66. Une table avait été posée sur une estrade. La foule bruyante était si densément rassemblée autour que Radomìr et le chef eurent du mal à se frayer un chemin.
65. Elle était magnifique. Radieuse. Sa longue chevelure partageait avec les pleines lunes des nuits d’été sa couleur argentée. Elle se déplaçait avec la grâce d’une biche à travers les
64. « Où suis-je ? » La pièce était exiguë. A son réveil, Merunka avait la bouche vaseuse et l’estomac retourné. Il y avait des relents de souffre. « Est-ce que je me
63. Loin des stratagèmes de son employeur, Bartek suivait toujours la piste. Elle s’arrêtait en plein milieu du chemin tracé, pour s’enfoncer dans la forêt. « S’ils se sont enfoncés dans
62. On pouvait l’entendre pester de l’extérieur. « Ce mollasson de chef a mal choisi son moment pour se faire pousser une conscience ! » Tadeusz réfléchissait dans son bureau. Le soudoiement,
61. Heureusement que Sanja était notre guide. Eussions-nous même envisager de chercher l’endroit que nous ne l’aurions jamais trouvé. Je tentai d’en retenir les points de repères, ce que je
60. Le chef avait toujours été très méticuleux. Lorsqu’il avait été appointé à sa fonction, son unique but était de bien faire. Il avait consciencieusement lu et appris les lois
59. « Je suis venue cueillir des plantes pour ma grand-mère. » Interrogée par Dorn, la jeune femme nous expliquait les raisons de sa présence. Elle s’appelait Sanja et elle vivait en
58. A l’heure où le marché s’installait, Radomìr avait d’autres soucis. Il se dirigea sans détour vers la chefferie afin de solliciter d’urgence l’aide du chef. « Ah le fourbe ! »
57. Ewald, Dorn et moi attendions que la personne sorte des fourrés. Une goutte de sueur glissa sur ma tempe. Ami ou ennemi ? Etait-ce un chasseur de prime un