[EGREGORE] Partie I, chapitre 9
9. J’arrivai chargé de produits de la ferme. C’était la première fois que je mettais les pieds dans cet endroit. Il y avait beaucoup d’agitation. Je tentai d’en localiser la
Association culturelle et musicale à but non lucratif
9. J’arrivai chargé de produits de la ferme. C’était la première fois que je mettais les pieds dans cet endroit. Il y avait beaucoup d’agitation. Je tentai d’en localiser la
8. Dans l’après-midi, Cantor fut envoyé en ville vendre les produits de la ferme, permettant à Merunka d’aider son père à l’entretien de la maison. Radomìr était encore méfiant, mais
7. Je réalisai qu’elle avait fini la traite. Je me demandai pendant combien de temps je m’étais perdu dans mes propres pensées. Et pendant ce temps, je n’avais pas avancé
6. A la ferme, les nuits sont courtes. Le soleil n’est pas levé et c’est à la lumière de la lune que les travaux commencent. N’ayant jamais pratiqué la traite
5. La maison de Radomìr était assez âgée, mais toujours solide et bien entretenue. Merunka me racontait qu’elle avait été bâtie par son grand-père et que son père avait repris
4. Tadeusz entra dans la taverne d’un pas serein, un léger rictus sur les lèvres. Il repéra la table du fond, à laquelle était assis un homme musclé et armé,
3. Lorsque la nuit tombe sur la petite cité, habituellement les habitants désertent les rues. La plupart des hommes se retrouvent alors au comptoir local pour boire, manger ou combler
2. J’étais parti à la recherche de mes véritables origines, mais la quête était difficile. La seule piste que j’avais était celle d’un certain Zur Ianä. Un homme étrange, que
Je suis un voyageur. On me connaît sous le nom de Cantor. Et ceci est l’histoire de comment j’ai retrouvé mon nom. Partie I MERUNKA 1. Le soir tombait sur